Demande croissante et manque d’encadrement : le nombre de salons de tatouage a explosé un peu partout en France. Exemple avec Limoges et la Haute-Vienne, témoignages à l’appui.
Demande croissante et manque d’encadrement : le nombre de salons de tatouage a explosé un peu partout en France. Exemple avec Limoges et la Haute-Vienne, témoignages à l’appui.
Le 21 septembre 2018, Stéphane Chaudesaigues était l’invité du plateau du 12/13 de France 3 Auvergne. La journaliste Claire Pain a pu interroger le président de Tatouage & Partage sur les sujets qui préoccupent en ce moment les professionnels du tattoo.
Tatouage ou rugby ? En 2019, il faudra choisir. Pour la prochaine Coupe du monde, qui aura lieu au Japon, les joueurs ont été invités par la Fédération internationale de rugby à cacher leurs tatouages. Les explications de Tatouage & Partage.
Animatrice sur France Bleu, Nelly Sorbier a consacré l’édition du 24 septembre 2018 de son émission Le dossier du jour au tatouage, et plus particulièrement aux actions de Tatouage & Partage. Notre association a pu évoquer la question du statut pour tous.
Tatoueur dans le Berry et membre de Tatouage & Partage, François Branco-Gomes s’est exprimé dans la presse sur le code de déontologie du tatouage souhaité par lui et notre association. Une initiative aussitôt décriée par un porte-parole du SNAT. Droit de réponse.
Après France 3 Normandie, c’est au tour de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes de relayer l’appel à un code de déontologie du tattoo lancé par Tatouage & Partage. L’idée suit son chemin région après région !
Europe 1 s’est intéressée au tattoo, et le monde du tatouage était en droit d’espérer un traitement des sujets de fond qui préoccupent en ce moment la profession. À la place, la radio a offert un triste mélange de poncifs mille fois entendus et de clientélisme. Coup de gueule.
Faut-il un code de déontologie pour les tatoueurs ? Le 14 septembre 2018, France 3 s’est posé la question à la suite de l’appel lancé par l’association Tatouage & Partage. Reportage.
"Des tatoueurs réclament un statut officiel pour leur profession", titrait au mois de septembre 2018 La Montagne, journal régional couvrant notamment le département du Cantal et ayant interrogé pour l’occasion l’un de ses ambassadeurs : Stéphane Chaudesaigues.
Parce que la colère gronde de plus en plus fort chez les tatoueurs professionnels qui tentent, vaille que vaille, de vivre honnêtement de leur passion, des tatoueurs de France et Tatouage et Partage ont travaillé sur un code de déontologie du tattoo.