Revue de presse

  
 

"De nouvelles règles européennes interdisent aux tatoueurs d'utiliser 25 pigments aux anciennes normes depuis le 1er janvier [2022]", rappelle La Montagne.

"François Branco-Gomes […] est à l’initiative d’un code de déontologie du tatouage qu’il aimerait voir adopté par toute la profession", écrivait Le Berry Républicain le 20 septembre 2018.

"Le Cantalien Stéphane Chaudesaigues, qui milite pour une reconnaissance officielle des tatoueurs professionnels, défend le principe d’un code de déontologie", exposait France 3 le 19 septembre 2018.

"Saviez-vous qu’officiellement, le métier de tatoueur n'existe pas ?" C’est par cette question que Stéphane Chaudesaigues a interpelé les lecteurs du HuffPost.