Hannah Aitchison s’attarde à Avignon après son séminaire

  
 

Les minutes sont chères lorsque l’on s’appelle Hannah Aitchison et que l’on compte parmi les tatoueuses les plus médiatisées de la planète. Qu’à cela ne tienne : la superstar du tattoo américain, visiblement séduite par les paysages français, s’est quelque peu attardée à Avignon après ses deux jours de séminaire de tatouage, les 26 et 27 janvier 2015. Tête-à-tête avec Hannah, en vidéo.

Hannah Aitchison au studio de tatouage Graphicaderme d’Avignon

@Vidéo : Pounti Prod’

Hannah Aitchison au studio de tatouage Graphicaderme d’Avignon

Avant de repartir pour Pittsburgh, la ville dans laquelle elle officie, Hannah Aitchison a élu domicile au studio de tatouage Graphicaderme d’Avignon, collectif partenaire de votre association Tatouage & Partage. Là-bas, elle a fait deux des choses qu’elle sait faire le mieux : jouer du dermographe… et se confier face caméra, avec l’enthousiasme et la chaleur qu’on lui connait.

Une artiste poussée par son frère

Les 4 minutes de portait filmées et montées par l’équipe de Pounti Prod nous montrent une Hannah Aitchison décontractée, comme à son habitude. La tatoueuse américaine revient sur sa longue expérience d’artiste – elle tatoue depuis 18 ans. Elle raconte la façon dont son frère, l’immense artiste Guy Aitchison, l’a poussée à se lancer dans le tattoo, elle qui montrait tant de réticence à empiéter sur la garde chassée de son cadet. Reconnaissante, Hannah Aitchison ? À n’en point douter…

« It’s a tattoo, it’s gonna hurt! »

Figuratif, portraits, pin-up : Hannah Aitchison revient sur ses influences, à mi-chemin entre tradition et réalisme, qu’elle avait déjà pu évoquer au cours de son séminaire de tatouage pour l’association Tatouage & Partage. Avant de conclure sur une note savoureuse : la propension à supporter la douleur provoquée par le tattoo, de la part des Américains… et des Français.

@Photos : Dam’s